In 2017, the Impact Hub Geneva & Lausanne in cooperation with Engagement Migros initiated the Sustainable Living Lab, a 3-year experiment building an open innovation platform whose aim was to facilitate cross-sector collaboration to develop, prototype and test both methods and solutions for Sustainable Living in Romandie.

This journey was fascinating, full of challenges, surprises and rewards. We learned what systemic change really means. We discovered that both technical and social innovation are necessary for the transition to sustainable lifestyles. We understood that the narrative around sustainable lifestyles needed to be positive and attractive. And most importantly we realised that our focal point of attention in attempting to address the Sustainable Development Goals shall not be the outcomes, but the process. You want to create a healthy society? Focus on the how, not the what. Focusing on the transformation process is significantly more powerful than on the desired outcomes.

The collaboration with Engagement Migros enabled the Impact Hub Geneva & Lausanne to develop and test several innovation and change methodologies: Lean Startup, Design Thinking, Theory-U, Participatory Leadership to name a few. It also allowed us to create events and host spaces – from hour-long workshops to 6-month long programmes – where these methodologies could come alive and foster cross-sector collaboration: an essential, though underutilised, response to the multiple and interrelated crises we face today. Some of the events, workshops and programmes we ran include:

We strived to approach the complex issues of responsible consumption and production (SDG12), sustainable cities & communities (SDG11) and good health & wellbeing (SDG3) in our own backyard, the wealthiest country in Europe. We did this from a variety of angles, from supporting early-stage business ideas to leveraging organisational development and catalysing collective leadership.

Since its inception, the underlying vision of the Sustainable Living Lab became much broader. Originally intending to support the development of sustainable living solutions through engaging stakeholders and partners, it evolved to be a testing ground for experimentation on applying an ecosystem approach to solving complex challenges.

What impact did we have?

If we talk in numbers, we partnered with over a dozen organisations, reaching more than 300 people through diverse kinds of collaborative actions. However, beyond the numbers, we believe that we contributed in a qualitative way to at least three trends:

1) social innovation for sustainability;

2) circular economy as a systemic approach to solve the SDGs;

3) opening up a space for dialogue and opportunities for collaboration between business, academia, government and civil society.

These trends are drivers of the transition towards a sustainable society in which technological innovation must be leveraged to permit smarter use of resources. However, maintaining humanity and social wellbeing as primary objectives must be the priority. How to succeed in this mindset shift and system change? Accepting that it means transforming ourselves first, embracing the same values we hold dear in our homes as in our workplaces.

Be courageous    Be collaborative    Be caring    Be compassionate    Be you.

Visit Engagement Migros’s website

En 2017, l’Impact Hub Genève & Lausanne, en coopération avec Engagement Migros, a lancé le Sustainable Living Lab, une expérience de 3 ans créant une plateforme d’innovation ouverte dont l’objectif était de faciliter la collaboration intersectorielle pour développer, prototyper et tester à la fois des méthodes et des solutions pour Vivre durablement en Romandie.

Ce voyage a été fascinant, rempli de défis, de surprises et de récompenses. Nous avons appris ce que signifie réellement le changement systémique. Nous avons découvert que l’innovation technique et sociale est nécessaire pour la transition vers des modes de vie durables. Nous avons compris que le récit autour des modes de vie durables devait être positif et attrayant. Et surtout, nous avons réalisé que notre point central d’attention dans la tentative d’atteindre les objectifs de développement durable ne sera pas les résultats, mais le processus. Vous voulez créer une société saine? Concentrez-vous sur le comment, pas sur le quoi. Se concentrer sur le processus de transformation est beaucoup plus puissant que sur les résultats souhaités.

La collaboration avec Engagement Migros a permis à l’ Impact Hub Genève & Lausanne de développer et tester plusieurs méthodologies d’innovation et de changement : Lean Startup, Design Thinking, Theory-U, Participatory Leadership pour n’en citer que quelques-unes. Cela nous a également permis de créer des événements et des espaces d’accueil – d’ateliers d’une heure à des programmes de 6 mois – où ces méthodologies pourraient prendre vie et favoriser la collaboration intersectorielle : une réponse essentielle, bien que sous-utilisée, aux crises multiples et interdépendantes que nous visage aujourd’hui. Certains des événements, ateliers et programmes que nous avons organisés incluent :

Nous nous sommes efforcés d’aborder les questions complexes de la consommation et de la production responsables (ODD12), des villes et communautés durables (ODD11) et de la bonne santé et du bien-être (ODD3) dans notre propre arrière-cour, le pays le plus riche d’Europe. Nous l’avons fait sous divers angles, allant du soutien aux idées d’entreprise à un stade précoce à la mise à profit du développement organisationnel et à la dynamisation du leadership collectif.

Depuis sa création, la vision sous-jacente du Sustainable Living Lab s’est beaucoup élargie. Initialement destiné à soutenir le développement de solutions de vie durables en engageant des parties prenantes et des partenaires, il a évolué pour devenir un terrain d’expérimentation pour l’application d’une approche écosystémique à la résolution de problèmes complexes.

Quel impact avons-nous eu ?

Si nous parlons en chiffres, nous nous sommes associés à plus d’une douzaine d’organisations, atteignant plus de 300 personnes à travers divers types d’actions collaboratives. Cependant, au-delà des chiffres, nous pensons avoir contribué de manière qualitative à au moins trois tendances :

1) l’innovation sociale pour la durabilité ;

2) l’économie circulaire comme approche systémique pour résoudre les ODD ;

3) ouvrir un espace de dialogue et des opportunités de collaboration entre les entreprises, les universités, le gouvernement et la société civile.

Ces tendances sont les moteurs de la transition vers une société durable dans laquelle l’innovation technologique doit être mise à profit pour permettre une utilisation plus intelligente des ressources. Cependant, le maintien de l’humanité et du bien-être social comme objectifs premiers doit être la priorité. Comment réussir ce changement de mentalité et de système ? Accepter cela, c’est d’abord se transformer, adopter les mêmes valeurs qui nous sont chères dans nos maisons comme dans nos lieux de travail.

Soyez courageux Soyez collaboratif Soyez bienveillant Soyez compatissant Soyez vous-même.

Visitez le site Web d’Engagement Migros

A journey through Theory U :
Exploring Social Transformation Through Local and International Experiences.

On January 23rd, 2020, Erica Mazerolle, Regional Catalyst for the League of Intrapreneurs and Impact Hub’s Lead on Social Innovation & Communities of Practice, was one of the speakers on this day that celebrated the 5th anniversary of U.Lab at Impact Hub Donostia.

It was important for us to be there to demonstrate how the Theory-U methodology can be a powerful tool. By linking personal aspects to systemic challenges, it promotes positive change at the organizational and societal levels, taking the individual as a starting point.

 

Beyond Waste and U Theory

“Erica Mazerolle of Impact Hub Lausanne inspired us with the Beyond Waste initiative carried out in Impact Hub Lausanne.The objective of this program is to explore the potential of generative awareness to facilitate the co-creation of solutions for the transformation towards the circular economy.

Erica defines co-creation as a generative state in which ideas and actions “emerge completely”, which means that the social field (relationships between people, organizations and institutions) determine the behavior of individuals and the collective.

Each part of the set has a specific function that can only be performed in a beneficial way if done collectively. She underlines the importance of perceptions being in tune with their surroundings.”

Text taken from : https://donostia.impacthub.net/en/u-lab-donostia-turns-5-years/

 

Un voyage à travers la Théorie U :
Explorer la transformation sociale à travers des expériences locales et internationales.

Le 23 janvier 2020, Erica Mazerolle , Catalyseur Régional pour la Ligue des Intrapreneurs et Responsable de l’Innovation Sociale et des Communautés de Pratique de l’Impact Hub, était l’une des oratrices de cette journée qui célébrait le 5e anniversaire de U.Lab à l’Impact Hub Donostia.

Il était important pour nous d’être là pour démontrer comment la méthodologie Theory-U peut être un outil puissant. En reliant les aspects personnels aux défis systémiques, elle favorise un changement positif aux niveaux organisationnel et sociétal, en prenant l’individu comme point de départ.

 

Au-delà des déchets et de la théorie U

“Erica Mazerolle d’ Impact Hub Lausanne nous a inspiré avec l’initiative Beyond Waste menée à Impact Hub Lausanne. L’objectif de ce programme est d’explorer le potentiel de la conscience générative pour faciliter la co-création de solutions pour la transformation vers l’économie circulaire.

Erica définit la co-création comme un état générateur dans lequel les idées et les actions “émergent complètement”, ce qui signifie que le champ social (les relations entre les personnes, les organisations et les institutions) détermine le comportement des individus et du collectif.

Chaque partie de l’ensemble a une fonction spécifique qui ne peut être réalisée de manière bénéfique que si elle est réalisée collectivement. Elle souligne l’importance que les perceptions soient en phase avec leur environnement.”

Texte extrait de : https://donostia.impacthub.net/en/u-lab-donostia-turns-5-years/

 

Impact Hub et le Programme des Nations Unies pour le développement annoncent les finalistes mondiaux du programme Accelerate2030

Ensemble, le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et Impact Hub ont le plaisir d’annoncer les finalistes internationaux du programme Accelerate2030. Accelerate2030 est un programme international qui soutient les entreprises à fort impact qui s’attaquent aux objectifs de développement durable (ODD). Depuis 2016, le programme Accelerate2030 a été mis en œuvre dans 24 pays, couvrant 16 pays en développement dans l’édition de cette année.

Sélectionnée parmi plus de 1100 candidatures, cette année représente une cohorte diversifiée d’entreprises axées sur l’impact couvrant de nombreux ODD, notamment des solutions innovantes pour un diagnostic rapide et peu coûteux, le bioplastique à partir de graines d’olive et l’utilisation de l’intelligence artificielle dans l’agritech, pour n’en nommer que quelques-uns.

Les 10 finalistes internationaux Accelerate2030 sont :

Unima (Mexique) : Société de biotechnologie qui développe des systèmes de diagnostic et de surveillance des maladies rapides et peu coûteux. L’objectif de la société est de résoudre le manque d’accès à des diagnostics rapides pour les 3 milliards de personnes dans les pays en développement et pauvres en ressources.

Portal Telemedicina (Brésil) : La mission de Portal Telemedicina est de permettre l’accès universel à des soins de santé de qualité, grâce à une plateforme qui fournit des diagnostics fiables, rapides et peu coûteux à plus de 300 villes du Brésil et d’Afrique en permettant aux médecins de diagnostiquer en ligne grâce à l’intelligence artificielle. (IA).

Bio Live (Turquie) : Biolive produit des granulés bioplastiques 100% naturels à base de graines d’olive, afin de pallier les problèmes environnementaux de consommation de plastique, et de combler les carences du marché bio/plastique.

AgroCognitive (Venezuela) : Une plateforme d’agriculture de précision abordable et intelligente pour toutes les tailles d’exploitations et toutes les industries alimentaires. Il est alimenté par un moteur de reconnaissance visuelle d’intelligence artificielle (IA), des modèles d’analyse, une blockchain, et il est compatible avec les dispositifs de gestion IoT .

Ekofungi (Serbie) : Ekofungi est un producteur de champignons biologiques de taille moyenne utilisant un modèle innovant de production circulaire de champignons qui exploite les déchets locaux à base de cellulose (dans un rayon de 30 km), créant un substrat de champignons et cultivant des champignons en utilisant des innovations uniques en matière d’efficacité énergétique.

Impact Water (Nigéria) : Fournir de l’eau potable aux institutions des pays en développement (écoles et établissements de santé), via la vente, l’installation et la maintenance de systèmes de purification d’eau qui utilisent des technologies établies qui fonctionnent efficacement pendant des décennies avec une maintenance préventive relativement simple.

InvestEd (Philippines) : InvestEd permet aux institutions et aux particuliers d’investir dans des prêts à des étudiants universitaires non bancarisés grâce à un outil innovant d’évaluation du crédit qui prédit le remboursement et l’emploi.

Sampangan (Indonésie) : Une solution innovante de traitement des déchets utilisant la technologie de carbonisation (rayonnement thermique) pour décomposer efficacement tout type de déchets solides (organiques et inorganiques) en carbone pour l’agriculture biologique et d’autres industries.

Costa Rica Insect Company (Costa Rica) : Création de solutions durables à base d’insectes et fourniture de solutions saines et de haute qualité contre la malnutrition. De plus, le CRIC cherche à utiliser des insectes pour développer des composants biochimiques pour des industries non durables telles que les plastiques, les produits pharmaceutiques, la technologie ou même l’emballage.

SoluBio (Brésil) : La mission de SoluBio est d’éliminer l’utilisation de produits chimiques dans l’agriculture grâce à une technologie qui permet aux agriculteurs de produire leur propre biofongicide, biopesticide et autres produits nécessaires à l’agriculture.

 

En savoir plus sur les finalistes mondiaux 2019 ici

 

Ces dix finalistes rejoindront le programme mondial de mise à l’échelle Accelerate2030, lancé par une semaine intensive d’activités à Genève du 4 au 11 octobre, bénéficiant d’un ensemble de services et de soutien offerts par le PNUD, Impact Hub, International Trade Centre, Pfizer, Amazon Web Services, ONUSIDA, Boston Consulting Group et autres partenaires du programme. La semaine de Genève s’inscrit dans le cadre de la Building Bridges Week , mettant en relation des acteurs clés travaillant dans le domaine de la finance durable, avec les entrepreneurs présents au SDG Geneva Finance Summit (SGS Genève) le 9 octobre et à l’événement Factory17 le 10 octobre.

Pour plus d’informations et demandes d’interviews, veuillez contacter :

Impact Hub Genève
Ljupka Mitrinovska, Accelerate2030
Courriel : ljupka.mitrinovska@impacthub.ch
Tél : +41 76 396 64 13

PNUD Genève
Sarah Bel
Courriel : sarah.bel@undp.org

Kit média avec photos et visuels disponibles ici , y compris l’image d’annonce ci-dessous.

Impact Hub and United Nations Development Programme announce global finalists of Accelerate2030 programme

Together, the United Nations Development Programme (UNDP) and Impact Hub are pleased to announce the international finalists for the Accelerate2030 programme. Accelerate2030, is an international programme that supports high-impact ventures tackling the Sustainable Development Goals (SDGs). Since 2016, the Accelerate2030 programme has been implemented across 24 countries, covering 16 developing countries in this year’s edition.

Selected from over 1100 applications, this year represents a diverse cohort of impact-driven ventures covering numerous SDGs including innovative solutions for rapid and inexpensive diagnostics, bioplastic from olive seeds, and using artificial intelligence in agritech, to name only a few.

The 10 International Accelerate2030 finalists are:

Unima (Mexico): Biotechnology company that develops rapid and inexpensive diagnostic and disease surveillance systems. The company’s goal is to solve the lack of access to rapid diagnostics for the 3 billion people in developing and resource-poor countries.

Portal Telemedicina (Brazil): Portal Telemedicina’s mission is to enable universal access to quality healthcare, through a platform that provides reliable, fast, and low-cost diagnostics to over 300 cities in Brazil and Africa by allowing doctors to diagnose online empowered by artificial intelligence (AI).

Bio Live (Turkey): Biolive produces 100% natural bioplastic granules made from olive seeds, in order to overcome environmental problems of plastic consumption, and to fulfil the deficiencies in bio/plastic market.

AgroCognitive (Venezuela): An affordable and smart precision farming platform for every farm size and food industry. It is powered by an artificial intelligence (AI) visual recognition engine, analytics models, blockchain, and it is compatible with IoT management devices.

Ekofungi (Serbia): Ekofungi is a mid-sized organic mushroom producer using an innovative circular mushroom-production model that harnesses local cellulose-based wastes (in a 30 km radius), creating mushroom substrate and cultivation mushrooms using unique energy-efficient innovations.

Impact Water (Nigeria): Delivering safe water to developing country institutions (schools and health facilities), via the sale, installation, and maintenance of water purification systems which use established technologies that perform effectively for decades with relatively simple, preventive maintenance.

InvestEd (The Philippines): InvestEd enables institutions and individuals to invest in loans to unbanked college students through an innovative credit scoring tool that predicts repayment and employment.

Sampangan (Indonesia): An innovative waste processing solution using carbonisation technology (heat radiation) to efficiently decompose any kind of solid waste (organic & inorganic) into carbon for organic agriculture and other industries.

Costa Rica Insect Company (Costa Rica): Creating sustainable insect-based solutions, and providing high quality and healthy solutions for malnutrition. In addition CRIC seeks to use of insects to develop biochemical components for unsustainable industries such as plastics, pharmaceuticals, technology or even packaging.

SoluBio (Brazil):  SoluBio’s mission is to eliminate the usage of chemicals in agriculture through a technology that enables farmers to produce their own biofungicide, biopesticide and other necessary products in agriculture.

 

Learn more about the 2019 global finalists here 

 

These ten finalists will join the global Accelerate2030 scaling programme, kicked off by an intensive week of activities in Geneva from 4-11 of October, benefitting from a set of services and support offered by UNDP, Impact Hub, International Trade Centre, Pfizer, Amazon Web Services, UNAIDS, Boston Consulting Group and other program partners. The Geneva week is part of the Building Bridges Week, connecting key players working in the field of sustainable finance, with the entrepreneurs presenting at the SDG Geneva Finance Summit (SGS Geneva) on October 9th, and the Factory17 event on October 10th.

For more information & interview requests, please contact:

Impact Hub Geneva
Ljupka Mitrinovska, Accelerate2030
Email: ljupka.mitrinovska@impacthub.ch
Tel: +41 76 396 64 13

UNDP Geneva
Sarah Bel
Email: sarah.bel@undp.org

Media kit with photos and visuals available here, including announcement image included below.

Robert Stittelmann, 27 ans, a découvert en 2013 cette idée sur la toile : une bibliothèque permettant de louer des articles dont l’usage est peu courant ou cher ! Séduit par ce concept qui lui trottera dans la tête pendant près de 5 ans, il décidera finalement de se lancer en 2018 et d’ouvrir la Manivelle !

La solution :

Concept inédit à Genève : La Manivelle est une coopérative de solidarité qui offre le prêt d’outils et de matériel. C’est simple, ça fonctionne comme une bibliothèque, mais à la place d’y emprunter des livres, on y emprunte des objets !

Pourquoi rejoindre la Manivelle ? Voici quelques raisons qui devraient vous convaincre :

 

Ici le lien vers l’inventaire en ligne ou vous retrouverez tout le catalogue et le lien vers le site internet.

 

Entretien avec Robert :

 

Bonjour, peux-tu te présenter en quelques mots ?

Bonjour! Je m’appelle Robert. Je suis ingénieur en gestion de la Nature et je suis actif dans de nombreuses associations et coopératives à Genève. J’aime danser, faire de la slackline, de l’escalade et du bateau à voile.

 

Comment as tu découvert l’incubateur CET?

Je connais depuis un moment Impact Hub car je suis dans le milieu de l’innovation, des associations. Je ne suis pas membre mais je suis de loin ce qu’ils font. J’ai aussi une bonne amie qui travaille là-bas mais je n’étais pas directement impliquée jusqu’à ce que j’intègre l’incubateur CET.

 

Quelles étaient tes attentes/ motivations ?

Mon projet était déjà bien ficelé, il s’est très vite développé. J’ai lancé un crowdfunding peu avant l’incubateur grâce à laquelle j’ai réalisé 20’000;-. A partir de là, tout s’est mis en place très rapidement…

J’avais donc déjà tout le business plan, mais je n’avais pas demandé d’expériences dans le commerce, ni dans la communication ou dans la création d’entreprise. J’ai fait pleins de projets, mais pas obligé des projets d’entreprises en tant que tel…C’est quand même plus costaud !

Cet incubateur pour moi, c’était une manière de faire validée par des experts ce que j’avais fait en me basant principalement sur mon bon sens, avoir plus de retour mais aussi plus d’expérience et de visibilité.

 

Un bon et un mauvais point de l’incubateur ?

Le mauvais point pour moi c’est que c’est très axé start up. J’ai un projet assez social, et il y a quelques éléments qui ne s’appliquent pas selon certains. Les autres projets sont des SA, des SARL… Mon projet a vraiment une dimension participative, sociale qui n’était pas toujours représentée. Mon projet était aussi déjà bien avancé, j’étais déjà dans le concret alors que d’autres étaient seulement au stade d’idéation. Il y avait un peu de décalage.

Après, en ce qui concerne les points positifs, énormément d’inspiration ! Même s’il s’agit de choisir que tu connais déjà, sur l’économie circulaire, sur les modèles d’affaire, sur comment recruter des nouveaux membres etc, il y a pleins de nouveaux éléments, c’une mine d’information pour vraiment se restituer, se recentrer.

Pleins de rencontres, pleins de bonnes énergies ! J’ai retrouvé cette ambiance de co-création que j’affectionne, pleins de change makers qui partagent leurs idées ! C’est quelque chose qui pour moi est très important : La dynamique !

Laurent Maeder aussi, qui a beaucoup aimé le projet, qui m’a donné un vélo ! Je trouve ça assez classe car je ne le connais pas vraiment sur s’est vu deux trois fois mais on se dit bonjour de loin.

 

Ton meilleur souvenir ?

La journée à Zurich, on s’est tous retrouvés, il y avait des intervenant assez intéressant… C’était pleins d’apprentissage et de joie ! Tout le monde était motivé, joyeux. Pour moi c’est vraiment très important ! C’est d’ailleurs vraiment l’esprit que j’essaye de donner à tous mes projets…

 

 

FlitOut nous raconte son expérience au sein de l’incubateur CET !

L’aventure FlitOut débute à l’automne 2018, quand Aymeric Laurent quitte son emploi et qu’Alexandre Micheloud termine ses études. Ensemble, ils décident d’effectuer au sein de l’incubateur de start-ups Impact Hub sur le thème de l’économie circulaire ! Les retours positifs encouragent rapidement la mise en place du projet, actuellement en phase de tests et de développement. Interview avec ces deux passionnés de sports qui souhaitent promouvoir une consommation plus circulaire et responsable.

 

Le défi :

L’un des objectifs de l’économie circulaire est d’augmenter le taux d’utilisation des biens. Nous possédons tous aujourd’hui, des produits qui finissent par s’empoussiérer dans notre garde-robe ou dans notre garage… que de les louer et ne trouvent plus ou peu d’usage à ces biens dont le taux d’utilisation pourrait être bien plus élevé..! En effet, louer des produits au lieu de les posséder, pourrait permettre de booster l’utilisation du produit afin de le consommer plus “pleinement” ! FlitOut récompense « l’expérience location » afin que cette dernière prise de place dans nos modes de vie !

La solution :

FlitOut est un service flexible de location de matériel pour enfants.

Les avantages ? :

Dans un premier temps, FlitOut souhaite se concentrer sur le matériel sportif des enfants car c’est là qu’il le modèle de consommation actuel est le moins adapté. Mais la startup étudie la possibilité d’élargir ses services aux familles pour faciliter des moments de qualités autour de la pratique du sport. Un tour en paddle sur le lac? Une sortie un roller ? S’essayer à la grimpe ou à la via ferrata ? Tout cela pourrait devenir bien plus facile d’accès !

La plateforme réfléchit aussi à comment implémenter des aspects plus solidaires à son service. Mais une économie circulaire ne se fera que si tout le monde y met du sien, sur toute la chaîne de valeur ! FlitOut espère ainsi par exemple pouvoir fonctionner avec des marques et les encourager, grâce à leur modèle, à designer des produits plus durables, plus facilement réparables, mais aussi conçus pour être facilement désassemblés en fin de vie pour fabriquer de nouveaux produits. Il sera également consulté avec des revendeurs. Ces derniers ont en effet par exemple souvent des invendus. FlitOut pourrait les aider à libérer de nouvelles sources de revenus.

FlitOut livre ses impressions sur l’incubateur CET !

prévoyez-vous vous présenter en deux mots ?

Alexandre : Bonjour, je m’appelle Alex, j’ai 25 ans. Je suis né et j’ai grandi à Genève. Je viens tout juste de terminer mes études de stratégie d’entreprise à St Gall, où j’ai d’ailleurs ma remise de diplôme dans 2 jours ! De retour à Genève, je me consacre actuellement essentiellement au projet FlitOut !

Aymeric : Moi c’est Aymeric Laurent, je viens de Lausanne, j’ai fait l’EPFL en système de communication. Après quoi, j’ai travaillé un an et demi dans une boite de technologie et de stratégie. Aujourd’hui je bosse avec Alex sur le projet FlitOut presque à 100%.

 

Comment avez-vous entendu parler de l’incubateur CET ?

Alexandre : Nous avons entendu parler de cet incubateur à travers les réseaux sociaux. Un ami nous avait envoyé un lien en juin. Très requis par ce thème, nous avions décidé de suivre tout le programme. C’est comme ça que nous sommes tombés sur ce programme d’incubation !

 

Quelles sont vos impressions sur cet incubateur, les points forts et les points faibles ?

Alexandre : La flexibilité ! Comme je l’ai dit, contrairement à d’autres équipes, Aymeric et moi travaillons presque à 100% sur FlitOut. Du coup, les 2 jours qui nous étaient accordés aux seins de l’espace nous semblaient un peu court…Après avoir évoqué cela avec le responsable du programme, nous avons pu passer de 2 à 3 jours ! J’ai beaucoup apprécié cette flexibilité, cette opportunité de pouvoir modéliser les choses selon nos besoins !

Aymeric : L’aspect communauté est vraiment cool aussi ! Un exemple très concret : Notre rencontre avec Azim Khan, un spécialiste dans le développement d’applications. Il n’a rien à voir avec l’incubateur, mais Ashleigh, chargée de faciliter la collaboration aux seins de la communauté Impact Hub, nous a tout de suite mis en contact ! Du coup, c’était très utile mais aussi facile de le rencontrer, de lui poser des questions et d’apprendre sur ce sujet. A travers les différents rendez-vous hebdomadaires que proposent l’Impact Hub comme sexy salad C’est vraiment facile de rentrer en contact, d’échanger…

Après paradoxalement au sein de l’incubateur, nous supposons beaucoup de pouvoir aimé passer plus de temps à échanger avec les autres équipes… Puisque certains habitent en dehors de Genève, la plupart du temps Lorsqu’il y a un atelier, les gens arrivent juste avant et partent dès que c’est fini. Ce serait peut-être cool d’avoir plus de temps pour échanger avec les autres équipes, d’organiser une sortie !

Alexandre : Mais sinon nous sommes très contents ! Pour notre projet, cet incubateur est parfait ! Il partait vraiment du début : idéation… et c’était vraiment là où on en était ! En plus, tout le monde est engagé dans la durabilité… Du coup on reçoit des feedbacks pertinents, c’est vraiment cool ! Et il y a aussi tout ce qu’il y a autour du programme d’incubation : la communauté, l’énergie, les événements, les autres programmes, etc. qui créent un écosystème unique ! Je n’aurais vu aucune autre organisation faire la même chose !

 

Comment votre projet a-t-il évolué depuis que vous avez commencé l’incubateur ?

Alexandre : Nous n’avons pas mal itérer, nous avons appris beaucoup de choses… Le cadre nous a beaucoup aidé ! A chaque fois qu’il y avait des ateliers, nous devions nous préparer, du coup ça nous poussait à être plus régulier dans notre travail.

Aymeric : Maintenant, nous avons aussi le sentiment d’être sur la bonne voie ! Nous avons pu montrer notre travail à des experts, bénéficier de leurs conseils, acquérir de nouvelles connaissances… Je pense que nous sommes plus rassurés quant à notre projet.

 

Votre meilleur souvenir ?

Aymeric : Moi j’ai bien aimé l’atelier national à Zurich, quand on s’est tous retrouvés. C’était vraiment sympa ! Il y avait de bonnes vibes, c’était super motivant de voir tout ce monde travailler dans un même but ! En économie circulaire, ce qui change par rapport aux affaires traditionnelles, c’est qu’il s’agit pas mal de collaboration et non de concurrence. Cet aspect est bien ressorti ce qui m’a plu, car je crois qu’on devrait plus tendre vers ça !

Alexandre : L’atelier sur les sources de financement en Suisse par François Bonvin. Voilà, C’est un entrepreneur, il a lancé sa propre boîte qui est un succès aujourd’hui. J’ai trouvé trèss’enrichissant de lui parler, il a tout de suite su comprendre mes questions, comprendre où je voulais en venir. J’ai bien aimé cette rencontre !

 

Conseil pour d’autres porteurs de projets ou startups ?

Aymeric : Se mettre à la place du client, vraiment comprendre pourquoi il utiliserait ce service et ne pas se limiter à l’argument de l’économie circulaire. C’est clair que c’est un argument séduisant, surtout aujourd’hui, mais le produit doit aussi répondre à un besoin plus fonctionnel !

Alexandre : Un autre apprentissage, c’est l’importance de tout mettre à plat dès les premières phases du projet. Les frustrations, les problèmes, les interrogations… Il ne faut jamais se contenter d’une solution superficielle. Au contraire, il est vraiment important de creuser, creuser, creuser dès le début pour être sûr de partir sur des bases solides !

 

Pour connaitre plus de stories sur nos membres cliquez ici .

FlitOut nous raconte son expérience au sein de l’incubateur CET!

L’aventure FlitOut débute à l’automne 2018, lorsque Aymeric Laurent quitte son emploi et qu’Alexandre Micheloud termine ses études. Ensemble, ils décident de collaborer au sein de l’incubateur de start-ups Impact Hub sur le thème de l’économie circulaire! Les retours positifs encouragent rapidement la mise en place du projet, actuellement en phase de tests et de développement. Interview avec ces deux passionnés de sports qui souhaitent promouvoir une consommation plus circulaire et responsable.

 

Le Challenge:

L’un des objectifs de l’économie circulaire est d’accroître le taux d’utilisation des biens. Nous possédons tous aujourd’hui, des produits qui finissent par s’empoussiérer dans notre garde-robe ou dans notre garage… Les individus préfèrent, pour des raisons fonctionnelles (commodité), sociales (acceptation) ou émotionnelles (stimuli) posséder des produits plutôt que de les louer et ne trouvent plus ou peu d’usage à ces biens dont le taux d’utilisation pourrait être bien plus élevé..!  En effet, louer des produits au lieu de les posséder, pourrait permettre de booster l’utilisation du produit afin de le consommer plus “pleinement”! FlitOut repense “l’expérience location” afin que cette dernière prenne place dans nos modes de vie!

La Solution:

FlitOut est un service flexible de location de matériel pour enfants.

Les avantages? :

Dans un premier temps, FlitOut souhaite se concentrer sur le matériel sportif des enfants car c’est là qu’il le modèle de consommation actuel est le moins adapté. Mais la startup étudie la possibilité d’élargir ses services aux familles pour faciliter des moments de qualités autour de la pratique du sport. Un tour en paddle sur le lac? Une sortie un roller? S’essayer à la grimpe ou la via ferrata? Tout cela pourrait devenir bien plus facile d’accès!

La plateforme réfléchit aussi à comment implémenter des aspects plus solidaires à son service. Mais une économie circulaire ne se fera que si tout le monde y met du sien, sur toute la chaîne de valeur! FlitOut espère ainsi par exemple pouvoir collaborer avec des marques et les encourager, grâce à leur modèle, à designer des produits plus durables, plus facilement réparables, mais aussi conçus pour être facilement désassemblés en fin de vie pour fabriquer de nouveaux produits. Il souhaitent aussi collaborer avec des revendeurs. Ces derniers ont en effet par exemple souvent des invendus. FlitOut pourrait les aider à dégager de nouvelles sources de revenus.

FlitOut livre ses impressions sur l’incubateur CET! 

Pouvez-vous vous présenter en deux mots?

Alexandre:  Bonjour, je m’appel Alex, j’ai 25 ans. Je suis né et j’ai grandi à Genève. Je viens tout juste de terminer mes études de stratégie d’entreprise à St Gall, où j’ai d’ailleurs ma remise de diplôme dans 2 jours!  De retour à Genève, je me consacre actuellement essentiellement au projet FlitOut!

Aymeric: Moi c’est Aymeric Laurent, je viens de Lausanne, j’ai fait l’EPFL en système de communication. Apres quoi, j’ai travailler un an et demi dans une boite de technologie et de stratégie.  Aujourd’hui je bosse avec Alex sur le projet FlitOut presque à 100%.

 

Comment avez-vous entendu parler de l’incubateur CET?

Alexandre: Nous avons entendu parler de cet incubateur à travers les réseaux sociaux. Un ami nous avait envoyé un lien en juin. Très intéressés par cette thématique, nous avions décidé de follow tout le programme. C’est comme ca que nous sommes tombés sur ce programme d’incubation!

 

Quels sont vos impressions sur cet Incubateur, les points forts et les points faible?

Alexandre: La flexibilité! Comme je l’ai dit, contrairement à d’autres équipes, Aymeric et moi travaillons presque à 100% sur FlitOut. Du coup, les 2 jours qui  nous étaient accordés au seins de l’espace nous semblaient un peu court…Après avoir discuté de cela avec le responsable du programme, nous avons pu passer de 2 à 3 jours! J’ai beaucoup apprécié cette flexibilité, cette opportunité de pouvoir modeler les choses selon nos besoins!

Aymeric: L’aspect communauté est vraiment cool aussi! Un exemple très concret: Notre rencontre avec Azim Khan, un spécialiste dans le développement d’applications. Il n’a rien à voir avec l’incubateur, mais Ashleigh, chargée de faciliter la collaboration au seins de la communauté Impact Hub, nous a tout de suite mis en contact! Du coup, c’était très utile mais aussi facile de le rencontrer, de lui poser des questions et d’apprendre sur ce sujet. A travers les différents rendez-vous hebdomadaires que propose l’Impact Hub comme sexy saladC’est vraiment facile de rentrer en contact, d’échanger…

Après paradoxalement au sein de l’incubateur, nous aurions beaucoup aimé pouvoir passer plus de temps à échanger avec les autre équipes… Puisque certains habitent en dehors de Genève, la plupart du temps lorsqu’il y a un workshop, les gens arrivent juste avant et partent dès que c’est fini. Ce serait peut-être cool d’avoir plus de temps pour échanger avec les autres team, d’organiser une sortie!

Alexandre: Mais sinon nous sommes très contents! Pour notre projet, cet incubateur est parfait! Il partait vraiment du début: idéation… et c’était vraiment là où on en était! En plus, tout le monde est engagé dans la durabilité… Du coup on reçoit des feedbacks pertinents, c’est vraiment cool! Et il y a aussi tout ce qu’il y a autour du programme d’incubation: la communauté, l’énergie, les événements, les autres programmes, etc. qui créent un écosystème unique! Je n’aurais vu aucune autre organisation faire la même chose!

 

Comment votre projet a-t-il évolué depuis que vous avez commencé l’incubateur?

Alexandre: Nous avons pas mal itérer, nous avons appris beaucoup de choses… Le cadre nous a beaucoup aidé! A chaque fois qu’il y avait des workshops, nous devions nous préparer, du coup ça nous poussait à être plus régulier dans notre travail.

Aymeric: Maintenant, nous avons aussi le sentiment d’être sur la bonne voie! Nous avons pu montrer notre travail a des experts, bénéficier de leurs conseils, acquérir de  nouvelles connaissances… Je pense que nous sommes plus rassurés quant à notre projet.

 

Votre meilleur souvenir ?

Aymeric: Moi j’ai bien aimé le workshop national à Zurich, quand on s’est tous retrouvés. C’était vraiment sympa! Il y avait de bonnes vibes, c’était super motivant de voir tout ce monde travailler dans un même but! En économie circulaire, ce qui change par rapport aux business traditionnel, c’est qu’il s’agit pas mal de collaboration et non de compétition. Cet aspect est bien ressorti ce qui m’a plu, car je crois qu’on devrait plus tendre vers ça!

Alexandre: Le workshop sur les sources de financement en Suisse par François Bonvin. Voilà, C’est un entrepreneur, il a lancé sa propre boîte qui est un succès aujourd’hui. J’ai trouvé très enrichissant de lui parler, il a tout de suite su comprendre mes questions, comprendre où je voulais en venir. J’ai bien aimé cette rencontre!

 

Conseil pour d’autres porteurs de projets ou startups?

Aymeric: Se mettre à la place du client, vraiment comprendre pourquoi il utiliserait ce service et ne pas se limiter à l’argument de l’économie circulaire. C’est clair que c’est un argument séduisant, surtout aujourd’hui, mais le produit doit aussi répondre à un besoin plus fonctionnel!

Alexandre: Un autre apprentissage, c’est l’importance de tout mettre à plat dès les premières phases du projet. Les frustrations, les problèmes, les interrogations… Il ne faut jamais se contenter d’une solution superficielle. Au contraire, il est vraiment important de creuser, creuser, creuser dès le début pour être sûr de partir sur des bases solides!

 

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Un gris un peu plus brillant que d’habitude, un tableau blanc plus net qu’à son souvenir, une étagère plus fonctionnelle qu’à sa dernière visite. Mais qu’est-ce qu’il s’est passé chez Impact Hub Geneva ?

En pénétrant ce lundi 23 juillet dans la cuisine d’Impact Hub Genève, j’ai eu comme un sentiment de jamais vu. Était-ce un relent de mon état post bringue du week-end ? Pas sûr. L’espace clinquait comme si Monsieur Propre en personne était venu l’astiquer. Mais alors, si ce n’était pas moi, c’était quoi ? Le Pimp Day , bien sûr !

Retour sur le samedi 21 juillet 2018, où une équipe de bénévoles bricoleurs sont venus cirer, réparer et décorer le Hub pour notre plus grand confort et plaisir. Chapotés par quatre membres du staff, Elodie (pour son dernier jour), Charlotte, Florian (notre super moitié d’Hospitality Leader), et Félix, la dizaine de volontaires se sont attelés à la tâche avec dévouement et motivation (les pancakes d’ Amanda le matin et les pizzas fait maison d’Ashley à midi, y sont sûrement pour quelque chose !).

Au programme, quatre grands pôles d’activités – réparation, construction, esthétique et organisation – et une trentaine de tâches dépendent des suggestions de la communauté Impact Hub. L’idée est de redonner un coup de peps à l’espace, ainsi qu’à le rendre encore plus pratique et attrayant, afin de favoriser davantage l’inspiration. Mais alors, qu’est-ce qui a changé (entre autres) ?

L’opération a été un véritable succès, autant sur le plan de l’amusement que du travail réalisé. Un bon moyen pour les bénévoles de redécouvrir et de s’approprier l’espace, afin de s’y sentir encore plus à la maison.

« Ils l’ont fait leur » (Florian Dhondt)

– Blog par Manon Voland