FlitOut nous raconte son expérience au sein de l’incubateur CET !
L’aventure FlitOut débute à l’automne 2018, quand Aymeric Laurent quitte son emploi et qu’Alexandre Micheloud termine ses études. Ensemble, ils décident d’effectuer au sein de l’incubateur de start-ups Impact Hub sur le thème de l’économie circulaire ! Les retours positifs encouragent rapidement la mise en place du projet, actuellement en phase de tests et de développement. Interview avec ces deux passionnés de sports qui souhaitent promouvoir une consommation plus circulaire et responsable.
Le défi :
L’un des objectifs de l’économie circulaire est d’augmenter le taux d’utilisation des biens. Nous possédons tous aujourd’hui, des produits qui finissent par s’empoussiérer dans notre garde-robe ou dans notre garage… que de les louer et ne trouvent plus ou peu d’usage à ces biens dont le taux d’utilisation pourrait être bien plus élevé..! En effet, louer des produits au lieu de les posséder, pourrait permettre de booster l’utilisation du produit afin de le consommer plus “pleinement” ! FlitOut récompense « l’expérience location » afin que cette dernière prise de place dans nos modes de vie !
La solution :
FlitOut est un service flexible de location de matériel pour enfants.
Les avantages ? :
- C’est pratique : les parents choisissent des articles et les échangent avec des nouveaux dès qu’ils deviennent trop petits ou inutilisés. Plus de tracas d’achat.
- C’est économique : Les parents peuvent équiper leurs enfants avec du matériel de qualité et ce de manière plus économique. Ils payent uniquement pour l’utilisation effective du matériel.
- Une consommation responsable : Les articles sont reloués, ce qui a généré moins de déchets et favorisé le partage entre familles
Dans un premier temps, FlitOut souhaite se concentrer sur le matériel sportif des enfants car c’est là qu’il le modèle de consommation actuel est le moins adapté. Mais la startup étudie la possibilité d’élargir ses services aux familles pour faciliter des moments de qualités autour de la pratique du sport. Un tour en paddle sur le lac? Une sortie un roller ? S’essayer à la grimpe ou à la via ferrata ? Tout cela pourrait devenir bien plus facile d’accès !
La plateforme réfléchit aussi à comment implémenter des aspects plus solidaires à son service. Mais une économie circulaire ne se fera que si tout le monde y met du sien, sur toute la chaîne de valeur ! FlitOut espère ainsi par exemple pouvoir fonctionner avec des marques et les encourager, grâce à leur modèle, à designer des produits plus durables, plus facilement réparables, mais aussi conçus pour être facilement désassemblés en fin de vie pour fabriquer de nouveaux produits. Il sera également consulté avec des revendeurs. Ces derniers ont en effet par exemple souvent des invendus. FlitOut pourrait les aider à libérer de nouvelles sources de revenus.
FlitOut livre ses impressions sur l’incubateur CET !
prévoyez-vous vous présenter en deux mots ?
Alexandre : Bonjour, je m’appelle Alex, j’ai 25 ans. Je suis né et j’ai grandi à Genève. Je viens tout juste de terminer mes études de stratégie d’entreprise à St Gall, où j’ai d’ailleurs ma remise de diplôme dans 2 jours ! De retour à Genève, je me consacre actuellement essentiellement au projet FlitOut !
Aymeric : Moi c’est Aymeric Laurent, je viens de Lausanne, j’ai fait l’EPFL en système de communication. Après quoi, j’ai travaillé un an et demi dans une boite de technologie et de stratégie. Aujourd’hui je bosse avec Alex sur le projet FlitOut presque à 100%.
Comment avez-vous entendu parler de l’incubateur CET ?
Alexandre : Nous avons entendu parler de cet incubateur à travers les réseaux sociaux. Un ami nous avait envoyé un lien en juin. Très requis par ce thème, nous avions décidé de suivre tout le programme. C’est comme ça que nous sommes tombés sur ce programme d’incubation !
Quelles sont vos impressions sur cet incubateur, les points forts et les points faibles ?
Alexandre : La flexibilité ! Comme je l’ai dit, contrairement à d’autres équipes, Aymeric et moi travaillons presque à 100% sur FlitOut. Du coup, les 2 jours qui nous étaient accordés aux seins de l’espace nous semblaient un peu court…Après avoir évoqué cela avec le responsable du programme, nous avons pu passer de 2 à 3 jours ! J’ai beaucoup apprécié cette flexibilité, cette opportunité de pouvoir modéliser les choses selon nos besoins !
Aymeric : L’aspect communauté est vraiment cool aussi ! Un exemple très concret : Notre rencontre avec Azim Khan, un spécialiste dans le développement d’applications. Il n’a rien à voir avec l’incubateur, mais Ashleigh, chargée de faciliter la collaboration aux seins de la communauté Impact Hub, nous a tout de suite mis en contact ! Du coup, c’était très utile mais aussi facile de le rencontrer, de lui poser des questions et d’apprendre sur ce sujet. A travers les différents rendez-vous hebdomadaires que proposent l’Impact Hub comme sexy salad … C’est vraiment facile de rentrer en contact, d’échanger…
Après paradoxalement au sein de l’incubateur, nous supposons beaucoup de pouvoir aimé passer plus de temps à échanger avec les autres équipes… Puisque certains habitent en dehors de Genève, la plupart du temps Lorsqu’il y a un atelier, les gens arrivent juste avant et partent dès que c’est fini. Ce serait peut-être cool d’avoir plus de temps pour échanger avec les autres équipes, d’organiser une sortie !
Alexandre : Mais sinon nous sommes très contents ! Pour notre projet, cet incubateur est parfait ! Il partait vraiment du début : idéation… et c’était vraiment là où on en était ! En plus, tout le monde est engagé dans la durabilité… Du coup on reçoit des feedbacks pertinents, c’est vraiment cool ! Et il y a aussi tout ce qu’il y a autour du programme d’incubation : la communauté, l’énergie, les événements, les autres programmes, etc. qui créent un écosystème unique ! Je n’aurais vu aucune autre organisation faire la même chose !
Comment votre projet a-t-il évolué depuis que vous avez commencé l’incubateur ?
Alexandre : Nous n’avons pas mal itérer, nous avons appris beaucoup de choses… Le cadre nous a beaucoup aidé ! A chaque fois qu’il y avait des ateliers, nous devions nous préparer, du coup ça nous poussait à être plus régulier dans notre travail.
Aymeric : Maintenant, nous avons aussi le sentiment d’être sur la bonne voie ! Nous avons pu montrer notre travail à des experts, bénéficier de leurs conseils, acquérir de nouvelles connaissances… Je pense que nous sommes plus rassurés quant à notre projet.
Votre meilleur souvenir ?
Aymeric : Moi j’ai bien aimé l’atelier national à Zurich, quand on s’est tous retrouvés. C’était vraiment sympa ! Il y avait de bonnes vibes, c’était super motivant de voir tout ce monde travailler dans un même but ! En économie circulaire, ce qui change par rapport aux affaires traditionnelles, c’est qu’il s’agit pas mal de collaboration et non de concurrence. Cet aspect est bien ressorti ce qui m’a plu, car je crois qu’on devrait plus tendre vers ça !
Alexandre : L’atelier sur les sources de financement en Suisse par François Bonvin. Voilà, C’est un entrepreneur, il a lancé sa propre boîte qui est un succès aujourd’hui. J’ai trouvé trèss’enrichissant de lui parler, il a tout de suite su comprendre mes questions, comprendre où je voulais en venir. J’ai bien aimé cette rencontre !
Conseil pour d’autres porteurs de projets ou startups ?
Aymeric : Se mettre à la place du client, vraiment comprendre pourquoi il utiliserait ce service et ne pas se limiter à l’argument de l’économie circulaire. C’est clair que c’est un argument séduisant, surtout aujourd’hui, mais le produit doit aussi répondre à un besoin plus fonctionnel !
Alexandre : Un autre apprentissage, c’est l’importance de tout mettre à plat dès les premières phases du projet. Les frustrations, les problèmes, les interrogations… Il ne faut jamais se contenter d’une solution superficielle. Au contraire, il est vraiment important de creuser, creuser, creuser dès le début pour être sûr de partir sur des bases solides !
Pour connaitre plus de stories sur nos membres cliquez ici .
FlitOut nous raconte son expérience au sein de l’incubateur CET!
L’aventure FlitOut débute à l’automne 2018, lorsque Aymeric Laurent quitte son emploi et qu’Alexandre Micheloud termine ses études. Ensemble, ils décident de collaborer au sein de l’incubateur de start-ups Impact Hub sur le thème de l’économie circulaire! Les retours positifs encouragent rapidement la mise en place du projet, actuellement en phase de tests et de développement. Interview avec ces deux passionnés de sports qui souhaitent promouvoir une consommation plus circulaire et responsable.
Le Challenge:
L’un des objectifs de l’économie circulaire est d’accroître le taux d’utilisation des biens. Nous possédons tous aujourd’hui, des produits qui finissent par s’empoussiérer dans notre garde-robe ou dans notre garage… Les individus préfèrent, pour des raisons fonctionnelles (commodité), sociales (acceptation) ou émotionnelles (stimuli) posséder des produits plutôt que de les louer et ne trouvent plus ou peu d’usage à ces biens dont le taux d’utilisation pourrait être bien plus élevé..! En effet, louer des produits au lieu de les posséder, pourrait permettre de booster l’utilisation du produit afin de le consommer plus “pleinement”! FlitOut repense “l’expérience location” afin que cette dernière prenne place dans nos modes de vie!
La Solution:
FlitOut est un service flexible de location de matériel pour enfants.
Les avantages? :
- C’est pratique: les parents choisissent des articles et les échange avec des nouveaux dès qu’ils deviennent trop petits ou inutilisés. Plus de tracas d’achat.
- C’est économique: Les parents peuvent équiper leurs enfants avec du matériel de qualité et ce de manière plus économique. Ils payent uniquement pour l’utilisation effective du matériel.
- Une consommation responsable: Les articles sont reloués, ce qui génère moins de déchets et favorise le partage entre familles
Dans un premier temps, FlitOut souhaite se concentrer sur le matériel sportif des enfants car c’est là qu’il le modèle de consommation actuel est le moins adapté. Mais la startup étudie la possibilité d’élargir ses services aux familles pour faciliter des moments de qualités autour de la pratique du sport. Un tour en paddle sur le lac? Une sortie un roller? S’essayer à la grimpe ou la via ferrata? Tout cela pourrait devenir bien plus facile d’accès!
La plateforme réfléchit aussi à comment implémenter des aspects plus solidaires à son service. Mais une économie circulaire ne se fera que si tout le monde y met du sien, sur toute la chaîne de valeur! FlitOut espère ainsi par exemple pouvoir collaborer avec des marques et les encourager, grâce à leur modèle, à designer des produits plus durables, plus facilement réparables, mais aussi conçus pour être facilement désassemblés en fin de vie pour fabriquer de nouveaux produits. Il souhaitent aussi collaborer avec des revendeurs. Ces derniers ont en effet par exemple souvent des invendus. FlitOut pourrait les aider à dégager de nouvelles sources de revenus.
FlitOut livre ses impressions sur l’incubateur CET!
Pouvez-vous vous présenter en deux mots?
Alexandre: Bonjour, je m’appel Alex, j’ai 25 ans. Je suis né et j’ai grandi à Genève. Je viens tout juste de terminer mes études de stratégie d’entreprise à St Gall, où j’ai d’ailleurs ma remise de diplôme dans 2 jours! De retour à Genève, je me consacre actuellement essentiellement au projet FlitOut!
Aymeric: Moi c’est Aymeric Laurent, je viens de Lausanne, j’ai fait l’EPFL en système de communication. Apres quoi, j’ai travailler un an et demi dans une boite de technologie et de stratégie. Aujourd’hui je bosse avec Alex sur le projet FlitOut presque à 100%.
Comment avez-vous entendu parler de l’incubateur CET?
Alexandre: Nous avons entendu parler de cet incubateur à travers les réseaux sociaux. Un ami nous avait envoyé un lien en juin. Très intéressés par cette thématique, nous avions décidé de follow tout le programme. C’est comme ca que nous sommes tombés sur ce programme d’incubation!
Quels sont vos impressions sur cet Incubateur, les points forts et les points faible?
Alexandre: La flexibilité! Comme je l’ai dit, contrairement à d’autres équipes, Aymeric et moi travaillons presque à 100% sur FlitOut. Du coup, les 2 jours qui nous étaient accordés au seins de l’espace nous semblaient un peu court…Après avoir discuté de cela avec le responsable du programme, nous avons pu passer de 2 à 3 jours! J’ai beaucoup apprécié cette flexibilité, cette opportunité de pouvoir modeler les choses selon nos besoins!
Aymeric: L’aspect communauté est vraiment cool aussi! Un exemple très concret: Notre rencontre avec Azim Khan, un spécialiste dans le développement d’applications. Il n’a rien à voir avec l’incubateur, mais Ashleigh, chargée de faciliter la collaboration au seins de la communauté Impact Hub, nous a tout de suite mis en contact! Du coup, c’était très utile mais aussi facile de le rencontrer, de lui poser des questions et d’apprendre sur ce sujet. A travers les différents rendez-vous hebdomadaires que propose l’Impact Hub comme sexy salad…C’est vraiment facile de rentrer en contact, d’échanger…
Après paradoxalement au sein de l’incubateur, nous aurions beaucoup aimé pouvoir passer plus de temps à échanger avec les autre équipes… Puisque certains habitent en dehors de Genève, la plupart du temps lorsqu’il y a un workshop, les gens arrivent juste avant et partent dès que c’est fini. Ce serait peut-être cool d’avoir plus de temps pour échanger avec les autres team, d’organiser une sortie!
Alexandre: Mais sinon nous sommes très contents! Pour notre projet, cet incubateur est parfait! Il partait vraiment du début: idéation… et c’était vraiment là où on en était! En plus, tout le monde est engagé dans la durabilité… Du coup on reçoit des feedbacks pertinents, c’est vraiment cool! Et il y a aussi tout ce qu’il y a autour du programme d’incubation: la communauté, l’énergie, les événements, les autres programmes, etc. qui créent un écosystème unique! Je n’aurais vu aucune autre organisation faire la même chose!
Comment votre projet a-t-il évolué depuis que vous avez commencé l’incubateur?
Alexandre: Nous avons pas mal itérer, nous avons appris beaucoup de choses… Le cadre nous a beaucoup aidé! A chaque fois qu’il y avait des workshops, nous devions nous préparer, du coup ça nous poussait à être plus régulier dans notre travail.
Aymeric: Maintenant, nous avons aussi le sentiment d’être sur la bonne voie! Nous avons pu montrer notre travail a des experts, bénéficier de leurs conseils, acquérir de nouvelles connaissances… Je pense que nous sommes plus rassurés quant à notre projet.
Votre meilleur souvenir ?
Aymeric: Moi j’ai bien aimé le workshop national à Zurich, quand on s’est tous retrouvés. C’était vraiment sympa! Il y avait de bonnes vibes, c’était super motivant de voir tout ce monde travailler dans un même but! En économie circulaire, ce qui change par rapport aux business traditionnel, c’est qu’il s’agit pas mal de collaboration et non de compétition. Cet aspect est bien ressorti ce qui m’a plu, car je crois qu’on devrait plus tendre vers ça!
Alexandre: Le workshop sur les sources de financement en Suisse par François Bonvin. Voilà, C’est un entrepreneur, il a lancé sa propre boîte qui est un succès aujourd’hui. J’ai trouvé très enrichissant de lui parler, il a tout de suite su comprendre mes questions, comprendre où je voulais en venir. J’ai bien aimé cette rencontre!
Conseil pour d’autres porteurs de projets ou startups?
Aymeric: Se mettre à la place du client, vraiment comprendre pourquoi il utiliserait ce service et ne pas se limiter à l’argument de l’économie circulaire. C’est clair que c’est un argument séduisant, surtout aujourd’hui, mais le produit doit aussi répondre à un besoin plus fonctionnel!
Alexandre: Un autre apprentissage, c’est l’importance de tout mettre à plat dès les premières phases du projet. Les frustrations, les problèmes, les interrogations… Il ne faut jamais se contenter d’une solution superficielle. Au contraire, il est vraiment important de creuser, creuser, creuser dès le début pour être sûr de partir sur des bases solides!
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